PNPS

Le Programme National de Physique Stellaire a pour missions la structuration, l’animation et l’accompagnement des études sur l’objet Étoile et à son environnement proche (disque proto-planétaire, compagnon(s) stellaire(s), exoplanète(s), disque circumstellaire). Ces études concernent toutes les étapes d’une vie stellaire, tous les domaines de masse (stellaire), et des environnements variés (amas, galaxies extérieures). Le PNPS est financé par l’Institut National des Sciences de l’Univers (INSU) du CNRS, le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES), ainsi que l’Institut de Recherche sur les lois Fondamentales de l’Univers (IRFU) du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA).

Programme national de physique stellaire


Site du programme PNPS

 


Financé par :
 INSU, CEA, CNES
Coordonné et géré par : INSU

Conseil Scientifique : Nadège Meunier (Directrice), Kevin Belkacem (Président), Christian Balança, Clément Baruteau, Xavier Bonfils,  Hervé Bouy, Jean-Claude Bouret, Benoit Commerçon, Orlagh Creevey,  Sébastien Deheuvels, Astrid Lamberts, Maud Langlois, Joao Pedro Marques, Anaëlle Maury, Alessandra Ravasia, Sophia Sulis


Bilan 2015-2018 et Prospective 2019-2013+

Appels d’offres – Archives

Voir aussi dans «Programmes AA»

Actions spécifiques L’ASHRA est une action transverse aux programmes thématiques en astronomie et soutient depuis de nombreuses années les développements des techniques Haute Résolution Angulaire en optique et infrarouge pour les observatoires au sol et spatiaux. Cette thématique de recherche en instrumentation recouvre les développements en interférométrie longue base, en optique adaptative et en observation à très haut contraste, avec une importance croissante et croisée des sciences des données. Le domaine connaît une évolution riche et soutenue, dans laquelle la communauté française prend une place de premier plan reconnue internationalement. Dans ce cadre, l'ASHRA a un rôle important en termes d'animation et coordination sur les actions de R&D amont ; elle apporte aussi un suivi et un support sur les développements engagés dans de grands projets ; elle veille enfin à une articulation pertinente avec les programmes thématiques que ce soit pour la prise en compte des priorités observationnelles à moyen et long terme ou pour l'aide à l'exploitation des nouveaux instruments par la plus large communauté. L'ASHRA est financée par l’Institut National des Sciences de l’Univers (INSU) du CNRS et le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES). CSAA La Commission Spécialisée Astronomie-Astrophysique de l’INSU est l’une des quatre commissions spécialisées de l’INSU. Elle est constituée de membres nommés pour cinq ans par l’INSU et de membres invités représentant les programmes nationaux, les actions spécifiques, des membres de la direction de l’INSU, les représentants du CNES et du MESRI. La CSAA est de façon générale l’organe d’expertise de l’INSU pour le domaine astronomie-astrophysique. Elle dispose de plusieurs prérogatives : - la répartition des crédits de recherche qui lui sont affectés sur le budget du domaine Astronomie-Astrophysique de l’INSU pour la R&D, la jouvence, la mise à niveau et les engagements sur des équipements ou actions nouvelles qui ne relèvent pas des programmes nationaux ou actions spécifiques ; - la proposition à la direction de l’INSU des services nationaux d’observation à labelliser ou à délabelliser, le suivi et l’évaluation de ces services ; - l’évaluation, le suivi et la mise en place ou l’arrêt des programmes nationaux et actions spécifiques ; - la prospective du domaine astronomie-astrophysique de l’INSU en lien avec la Section 17 du CoNRS. La CSAA se réunit deux fois par an au printemps et à l’automne. PCMI L’objectif de PCMI est de comprendre les mécanismes physiques, chimiques et dynamiques qui régissent l’évolution du milieu interstellaire des premières galaxies jusqu’à notre voie lactée. Observations, expériences de laboratoire, théorie, modèles, simulations numériques et astrostatistique sont combinés afin de faire progresser significativement les connaissances de ce milieu ouvert, complexe, au cœur du cycle de la matière, où les étoiles naissent, vivent, et meurent. Le milieu interstellaire est ainsi un milieu favorable à l’émergence de nouvelles propriétés, non seulement sous forme de structures à grande échelle, mais aussi sous forme d’une complexification de la matière à l’échelle moléculaire et son lien avec l'exobiologie. PCMI est financé par l’Institut National des Sciences de l’Univers (INSU), l’Institut de Chimie (INC) et l’Institut de Physique (INP) du CNRS, le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES), ainsi que l’Institut de Recherche sur les lois Fondamentales de l’Univers (IRFU) du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA).